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Former ou Déformer ?

Numérique et formation : quelles perspectives pour les praticiens ?

Numérique et formation : quelles perspectives pour les praticiens ?

Patrick Storhaye

Depuis toujours, les avancées technologiques ont contribué au développement des savoirs. Si l’outil n’est pas la « cause » de l’apprentissage, il constitue inévitablement une de ses « causes instrumentales » au sens aristotélicien. Le stylo n’est évidemment pas la cause principale du poème mais il ouvre bien un champ des possibles au poète. Or, ce champ des possibles va au-delà du choix des mots que l’esprit, l’âme ou le cœur aurait pu faire naître chez l’auteur·trice et dont le stylo n’est que « l’outil scripteur » pour reprendre un terme cher à l’éducation nationale française. Il ouvre en effet la perspective des calligrammes qu’affectionnait Guillaume Apollinaire, considéré comme à l’origine du mot, et qui lui fit dire à Pablo Picassso : « moi aussi je suis peintre ! ».

Il y a dans cette anecdote, deux remarques qui peuvent éclairer le débat sur le numérique et l’apprentissage :

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Le décodeur de l'offre de formation en apprentissage des Universités

Le décodeur de l'offre de formation en apprentissage des Universités

Recruter un collaborateur en provenance d’un CFA permet aux entreprises de diversifier leur recrutement et d’avoir des apprentis motivés et compétents. Le point avec Danielle Sionneau, Directrice du CFA Epure Méditerranée.

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Docendi : Comment développer des compétences durables à l’ère du digital ?

Docendi : Comment développer des compétences durables à l’ère du digital ?

Le continuum pédagogique docendi renforce le transfert des acquis et la mise en œuvre des engagements. Le parcours, qui mixe présentiel et accompagnement digital, se complète d’un outil de mesure d’impact pour démontrer son efficacité dans le développement des soft skills. Décryptage d’Anne Ambrosini, directrice pédagogie et développement 

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Le nouveau rôle de l’entreprise dans la formation aux gestes qui sauvent

Le nouveau rôle de l’entreprise dans la formation aux gestes qui sauvent

Au préalable, un constat : la France fait partie des mauvais élèves de l’Europe dans le domaine de la formation de la population aux premiers secours. En effet, à peine 20% des Français sont formés alors que 90% des Norvégiens le sont. Cette trop modeste politique de formation a une incidence directe sur le taux de survie en cas d’arrêt cardiaque qui s’élève à 5% dans l’hexagone contre 40% en Norvège.  

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