• Tipeee

Pour aller plus loin avec la prospective ...

La féminisation de l’Armée de l’Air

La féminisation de l’Armée de l’Air

La RSE, dans sa partie « sociale », c’est aussi la parité Femme/homme, alors regardons de plus près les évolutions d’un secteur d’activité qui nous est souvent étranger, l’Armée. Et plus encore au sein de cette institution républicaine, l’Armée de l’Air… Cet article est le résultat d’une collaboration d’un collectif de femmes militaires et du DRH de l’Armée de l’Air.

Depuis Maryse Bastié, pionnière de l’aéronautique, dont les exploits militaires et sportifs ont tracé la voie de nombreuses femmes dans l’Armée de l’air, la place des aviatrices n’a cessé de s’affirmer, quel que soit leur grade ou leur spécialité. 

Si l’Armée de l’air affiche aujourd’hui le taux de féminisation le plus important des armées, c’est à la fois par la combinaison d’une politique volontariste et d’une tendance naturelle. Alors que cette dynamique se poursuit d’année en année, permettant à un plus grand nombre d’entre elles d’accéder à des postes à responsabilité, un investissement continu reste nécessaire afin de renforcer la mixité au sein de l’Armée de l’air.

Lire la suite

RSE² : les outils collaboratifs au service des engagements de l’entreprise

RSE² : les outils collaboratifs au service des engagements de l’entreprise

 

Par Gaelle Roudaut, Consultante, Facilitatrice & Formatrice

Plateforme collaborative, chatOps ou encore réseaux sociaux d’entreprise ont plus ou moins envahi nos organisations… Même si leur succès n’est pas toujours au rendez-vous et pour cause un choix d’outil technologique peu adapté aux besoins réels des salariés et un déploiement à marche forcée sans grand accompagnement pour peu qu’ils soient déployés à bon escient, les outils collaboratifs de l’entreprise peuvent jouer un réel effet de levier tandis qu’il s’agit d’impliquer les salariés. Et ça tombe bien ! En matière de RSE, la responsabilité sociétale de l’entreprise cette fois, c’est justement ce que l’on cherche … pour que le sujet ne reste ni l’apanage de la direction, ni une promesse sur papier glacé, tandis qu’au cœur de l’actualité, la loi PACTE incite justement les entreprises à repenser leur place dans la société et à renforcer la prise en considération des enjeux sociaux et environnementaux dans leur stratégie et leur activité.

Lire la suite

Interview de Fella Imalhayene Déléguée Générale du Global Compact France

Interview de Fella Imalhayene Déléguée Générale du Global Compact France

Interview de Fella Imalhayene

Fella Imalhayene, avant d’entrer dans le vif du sujet, pourriez-vous nous dire qui vous êtes et quel a été votre parcours avant d’assurer le développement et la gestion du Global Compact France en qualité de Déléguée Générale.

Une double formation, Gestion Dauphine et Philosophie, en ne pouvant ne me satisfaire ni que de l’une ni que de l’autre. Un fort intérêt pour l’entreprise et ses enjeux, mais voulant garder en permanence le lien avec le « sens ». J’ai commencé par faire des missions dans des environnements culturels à l’Unesco ou au Centre Pompidou où je me suis occupée de comprendre les problématiques d’égalité des chances vis-à-vis de la culture et proposer des actions pour permettre aussi bien aux populations handicapées (accessibilité) qu’aux classes économiquement défavorisées (en particulier les jeunes) d’être attirées par ce lieu. 

Lire la suite

RSE, bien commun et projet d’entreprise

RSE, bien commun et projet d’entreprise

Patrick Storhaye, Président de Flexity, Professeur Associé au CNAM Paris, fondateur de RH info

En 2014, plusieurs acteurs de l’industrie pharmaceutique Nord-Américaine avaient été pointés du doigt, notamment par Hillary Clinton, pour avoir augmenté brutalement le prix de certains médicaments vitaux, et ce dans des proportions ahurissantes. Martin Shkreli, alors CEO de Turing Pharmaceuticals qui avait augmenté un de ses produits de 5 000%, était au centre de la polémique1 et fut alors désigné2 comme l’homme « le plus détesté » des Etats-Unis.  Dans un entretien sur CNBC3, le CEO de Valeant vantait de son côté les mérites de sa stratégie de croissance par acquisitions, financée par une dette aussi galopante qu’importante, comme la meilleure option pour ses actionnaires. Plusieurs articles4 fustigeaient alors sa propension à servir le seul intérêt de ses actionnaires au détriment de celui des patient·es. Elu CEO de l’année5 en 2015, il fut limogé6 en 2016, sa stratégie explosant en vol, puis arrêté7 ensuite pour soupçons de fraude. Warren Buffet8 le donna alors en exemple de ce qu’il ne faut pas faire pour présider aux destinées d’une entreprise.

Lire la suite

Les articles relatifs à la prospective et à l'avenir des RH